Les yeux ne mentent pas, les regards rĂ©vĂšlent des Ă©motions, des personnalitĂ©s et mĂȘme des intentions. Tout ce que nous ressentons se reflĂšte dans ces fenĂȘtres de lâĂąme. Nos yeux ne mentent pas ils sont le miroir de lâĂąme, le vrai visage de tous les visages possibles que nous sommes capables de mettre en chaque situation. Par consĂ©quent, la meilleure façon de commencer Ă connaĂźtre une personne est de la regarder dans les yeux et dâobserver les indications quâelle nous donne sur son Ă©tat Ă©motionnel, sur ce quâelle ressent Ă tout moment. Nos yeux, comme nos gestes, nous trahissent et en disent plus sur nous-mĂȘmes que nâimporte lequel de nos mots. En effet, le langage non verbal peut commencer par un regard et se terminer dans tous nos mouvements, constituant la plupart des informations que nous pouvons transmettre. âLâĂąme qui peut parler avec les yeux, peux aussi embrasser avec les yeuxâ -Gustavo Adolfo Becquer- Le miroir de lâĂąme une autre façon de se regarder De nombreuses Ă©tudes rĂ©vĂšlent que, lorsque nous rencontrons une personne, les yeux peuvent nous transmettre un large Ă©ventail de sensations. MĂ©fiance ou confiance, sĂ©curitĂ©, bien-ĂȘtre, peur⊠Nous savons que cela est vrai car cela nous est arrivĂ© dans notre au jour le jour. Câest comme si nous pouvions passer Ă travers le filtre que suppose le corps et atteindre lâĂąme des autres Ă travers leurs yeux. Certains experts, dans le travail desquels ils doivent ĂȘtre en contact avec lâĂ©tude des visages des gens, ont observĂ© que les yeux sont le miroir de lâĂąme parce quâils sont la partie la plus sincĂšre du visage. Nous nâavons aucun contrĂŽle sur les yeux, contrairement, par exemple, Ă la bouche. Si nous aimons quelque chose, les pupilles se dilatent involontairement et nous trahissent, ou elles se contractent en signe de rejet, par exemple. Le langage corporel de nos yeux Parmi toutes les informations que nous pouvons recevoir Ă travers nos yeux, nous pourrions faire une petite liste qui ne manquera pas dâĂȘtre curieuse. Voyons ci-dessous pourquoi on dit que le regard est le miroir de lâĂąme FĂ©licitĂ© Lorsque nos yeux sont plissĂ©s, ridĂ©s et brillent plus que la normale, nous sommes susceptibles de nous sentir bien. Il nâest pas nĂ©cessaire de voir une personne sourire pour se rendre compte quâelle est heureuse grĂące Ă son regard. âLes yeux sont le point oĂč lâĂąme et le corps se mĂ©langent.â -Friedrich Hebbel- Attention Si ce que nous avons devant nous, ce sont des yeux ouverts et un regard qui nous pĂ©nĂštre, câest que la personne est attentive Ă ce que nous disons ou Ă tout ce quâelle fait. Si elle nous parle, elle est consciente de nos paroles et nous devrons examiner dâautres traits non verbaux pour deviner si elle les juge pour le meilleur ou pour le pire. Tristesse Si les yeux sont le miroir de lâĂąme, on peut deviner cette Ă©motion qui est lâune de celles que lâon ressent le plus et que lâon essaie souvent de cacher. Dans ce cas, les paupiĂšres sont relevĂ©es et le bord infĂ©rieur des sourcils est relevĂ©. Les yeux sont le miroir de lâĂąme la colĂšre Lorsque nous nous mettons en colĂšre, nos yeux ou ceux des autres voient comment les sourcils se lĂšvent et lâexpression sĂ©rieuse. Parfois, nous fronçons mĂȘme les sourcils. Les yeux sont le miroir de lâĂąme incertitude ou Ă©valuation Au moment oĂč nous Ă©coutons quelquâun et plissons les yeux, nous indiquons que soit nous Ă©valuons ce quâil dit et doutons de sa vĂ©racitĂ©, par exemple, soit nous ne comprenons pas bien ce qui est dit. Le strabisme peut Ă©galement indiquer la fatigue. DĂ©sir sexuel ou effort cognitif Lorsque nous ressentons un dĂ©sir sexuel ou faisons un effort cognitif, les pupilles se dilatent, comme nous lâavons dit dans les lignes prĂ©cĂ©dentes, et nous laissent totalement exposĂ©s Ă lâautre personne. On ne peut pas lâĂ©viter, au point quâil sâaccompagne gĂ©nĂ©ralement de frottements des yeux car ils se mouillent et on se sent mal Ă lâaise. âĂa me terrifie, ça me fragilise, ça me tue de savoir que la beautĂ© ce nâest pas tes yeux, câest comment tu me regardes â -David Sant- Le âvisage socialâ les yeux sont le miroir de lâĂąme Comme nous lâavons vu jusquâici, lâexpression les yeux sont le miroir de lâĂąme a une base vĂ©rifiable. Cependant, cela va beaucoup plus loin. Sous lâĂ©tude de psychologues et de scientifiques de diffĂ©rentes branches du langage humain, tout au long de notre croissance, jusquâĂ lâĂąge de 40 ans environ, nous choisissons une sĂ©rie de visages que nous adaptons Ă des situations de communication trĂšs diffĂ©rentes et concrĂštes. Câest ce quâon a appelĂ© un visage social câest trĂšs significatif, par exemple, dans les moments tristes oĂč nous voulons rire, notre expression garde son sang-froid. Ă cet Ă©gard, Teresa BarĂł affirme que nous ne sommes pas des menteurs, car vivre en sociĂ©tĂ© nĂ©cessite certains comportements que nous devons maintenir comme moyen de survie. Nous ne sommes pas des menteurs car nous ne pouvons pas lâĂȘtre, nous pouvons ajuster volontairement nos expressions faciales et mĂȘme les mouvements de nos yeux, mais nous ne pouvons jamais empĂȘcher nos yeux dâĂȘtre le reflet de ce que nous ressentons, le miroir de lâĂąme. âLa pire trahison que vous puissiez vous faire est de ne pas faire ce pour quoi vos yeux brillent.â -Anonyme- POSER UN GESTE D'AMOUR Une contribution volontaire aide vĂ©ritablement Ă maintenir ce site ouvert et ainsi vous devenez un Gardien Passeurs en action. CLIQUEZ ICI POUR CONTRIBUERMerci Texte partagĂ© par les Chroniques d'Arcturius - Au service de la Nouvelle Terre
AlssaneNdiaye. Le sourire est le reflet de l'Ăąme. Diahara et un caniche venu en consultationđđ€© Espace nutrition et santĂ© animale Guediawaye. Câest passionnant, lâĂ©levage.
InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]Elijah Reyesil existe entre Anthony et toi un lien spĂ©cial, quelque chose que personne ne saurait dĂ©finir avec exactitude et qu'aucun mot ne pourrait dĂ©crire. quelque chose qui s'est liĂ© Ă vos Ăąmes, vos corps, vos coeurs depuis votre premiĂšre rencontre jusqu'Ă aujourd'hui. c'est inscrit, lĂ , entre vous, et ça ne s'efface pas. malgrĂ© les rancoeurs, les mensonges, les tromperies et les absences, malgrĂ© tout ce qui pourrait encore vous sĂ©parer et qui pourrait vous dĂ©truire, il y a cette vibration qui Ă©mane directement de vos auras et qui vous permet de vous reconnaĂźtre mĂȘme dans le noir. c'est ce lien qui, aujourd'hui, te fait rapidement prendre conscience que la personne qui te fait face n'est pas ton meilleur ami, malgrĂ© les ressemblances physiques et les caractĂ©ristiques similaires. bien sĂ»r, cette rencontre ne te surprend pas. t'es au courant depuis longtemps de l'existence d'un jumeau. Anton' t'en avait parlĂ© pendant votre road trip mais n'avait jamais plus fait mention de ce sujet depuis votre retour. te tenant sans doute Ă l'Ă©cart de cette simple vĂ©ritĂ© parce que tu lui avais fait l'affront de ne jamais lui parler de Casey jusqu'Ă votre retour. tu n'es pas surpris, non, lorsque tu tombes sur lui, en pleine rue. tout du moins, pas surpris de te retrouver face Ă son sosie, ce qui t'Ă©tonne, c'est qu'il soit ici et que ton meilleur ami n'ait pas jugĂ© bon de t'avertir. tu marques un temps d'arrĂȘt, face Ă ce visage qui te semble si familier et qui pourtant n'appartient pas au seul homme capable de t'Ă©lever aussi vite que de te Elijah. tu murmures, tes orbes se plantant dans les siennes et un fin rictus se dessinant sur tes lippes. ce qu'Anton' ne savait pas, c'est que tu avais rencontrĂ© son frĂšre jumeau avant mĂȘme que vous quittiez la ville ensemble. Ă l'Ă©poque, il avait fait irruption dans ta vie par le biais d'un art que vous apprĂ©ciez tous les deux. ça avait Ă©tĂ© une simple rencontre, tu n'avais pas vraiment donnĂ© suite puisqu'Anton', lui-mĂȘme, ne semblait pas certain d'avoir envie d'en apprendre davantage Ă ce sujet. je.. je suis surpris de te voir ici. tu lui dis, maladroitement. surpris et pourtant, ravi. t'as le sentiment qu'il pourrait ĂȘtre un accĂšs direct Ă son frĂšre, comme s'il pouvait t'apporter la solution dont tu avais besoin pour retrouver cette complicitĂ© que tu ne partageais plus avec Anton' depuis votre retour Ă NOLA. tu es venu voir Anton' ? tu lui demandes, rapidement. ici, au beau milieu d'une rue dans le quartier culturel de la Nouvelle-OrlĂ©ans. tu te montres suspicieux et pourtant charmant, la ressemblance est frappante et Ă©moustille tes sens. mais au fond de toi, tu sais qu'il ne s'agit pas de Tony. reflet de l'Ăąme Elijah Mer 30 DĂ©c - 1221 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]KĂ©o SanrowleyAbsent et inconstant, tu erres sans rĂ©elles rĂ©ponses. Les lueurs, elles sâĂ©garent tandis que les heures dĂ©filent - grande aiguille que tu nâes plus Ă mĂȘme de contempler. Crampe Ă lâestomac qui ne te lĂąche pas mĂȘme dâune semelle. Et pourtant te voilĂ qui tourne, Elijah. Tu tournes, toi chien fou que les frayeurs ne quittent pas. Et ton esprit en vient Ă sâĂ©garer encore vers quelques eaux sombres, quelques nĂ©ants mĂ©connus - panique qui valse avec ton sein jusquâĂ ne rien laisser. Plus rien si ce nâest le silence de ses rues, lâamertume de ce qu'il est, des dĂ©mons qui jonchent son sang depuis des annĂ©es et des annĂ©es. Sinistre dĂ©cor parsemĂ© de vagues lumiĂšres pour celui qui attend, qui patiente, excitĂ©, comme si ton Ăąme s'Ă©tait dessĂ©chĂ©e. Nulle clartĂ© pour l'ĂȘtre acculĂ©. Rien dâautre que ce temps qui passe encore doucement, longuement. Sans doute aurais-tu pu prĂ©venir tout ça en appelant tout simplement. Mais rien nây fait. Encore Ă©tranger pour lui, tu ne te sens pas totalement prĂȘt Ă revendiquer la place qui te revient de droit. pas prĂȘt du tout Ă passer Ă lâimproviste pour parler journĂ©e, pour parler boulot, pour parler tout court. Alors aprĂšs de longues heures passĂ©es Ă attendre le-dit concernĂ©, tu finis par dĂ©poser les armes - bien conscient que vos retrouvailles attendraient sans doute une autre fois. Te voilĂ donc qui arpente les rues, qui tique, perdant doucement cette retenue que tu pensais possĂ©der. Les songes qui s'effritent, la raison qui abdique. Les pas n'ont de cesse de rĂ©sonner. Tu crois sentir cette nĂ©vrose se lever, s'installer â elle corrompt jusqu'Ă l'Ăąme qui n'aspire plus qu'Ă cette ancienne sĂ©rĂ©nitĂ©. Et les lueurs qui dansent, qui s'accaparent jusqu'Ă l'ocĂ©an agitĂ© de tes prunelles peinĂ©es. Tu essaies de taire les images qui te viennent, les Ă©ternelles belles paroles aux piques trop prĂ©sentes, trop violentes. De celles qui heurtent, qui viennent s'abattre avec hargne contre les esprits Ă torturer de leur propre stupiditĂ©. Tu en soupires, d'ailleurs, un peu plus agacĂ©. Nâayant pas dâautre solution pour tâen dĂ©barrasser, pour enfin t'en remettre au mĂ©pris extĂ©rieur et Ă ces collĂšgues que d'autres iraient qualifier de sauveurs. Le rictus est bref, sous cette pensĂ©e-ci, Ă peine dessinĂ©. Parce que tu les sais affranchis de cette justice dĂ©sormais discutable. AvancĂ©e par-delĂ les rues, tu tâarrĂȘtes soudainement quand ton regard sâaurĂ©ole sur cette silhouette Keo. Ahh Keo. Laisse moi te regarder, ça fait longtemps. Tu vas bien depuis le temps ? » Interrogation qui porte mĂȘme si tu te doutes quâil va bien. AprĂšs tout tu lâavais promis Ă son aĂźnĂ©, un de tes frĂšres dâarmes. Tu prends le temps de sourire simplement, sans un mot supplĂ©mentaire, les prunelles qui s'abandonnent une fois de plus, observant ton vieil ami en long et large. Pourtant tu ne sens ton cĆur qui sâemballe, brasier qui reprend vie qu'une fois ton frĂšre mentionnĂ©. Oui. Je passais par lĂ et jâai voulu lui rendre visite. » Voix qui traverse tes lippes, demi vĂ©ritĂ© prononcĂ©e. Et toi quâest-ce que tu fais lĂ ? » Re reflet de l'Ăąme Elijah Lun 22 FĂ©v - 1721 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]Elijah Reyestu erres, il n'existe pas de termes plus prĂ©cis pour expliquer ce que tu fais dans l'coin. tu devrais mĂȘme pas t'y trouver mais t'avais ce besoin de sortir de ton appartement et marcher.. comble de l'ironie, c'est ici que tes pas te conduisent. Ă croire qu'Ă chaque fois que tu t'sens mal, c'est vers lui que tu as besoin de venir. et c'est l'cas, n'est-ce pas ? mais la porte est fermĂ©e, dĂ©sormais. votre dispute te reste en tĂȘte et t'as pas Ă coeur de lui demander pardon. pas encore. il te faudra du temps.. sans te rendre compte que le temps jouera ensuite contre toi. fichu montre, et putain d'aiguilles qui condamne votre relation, sans mĂȘme que tu t'en rendes compte. ironie toujours, tu tombes sur son reflet parfait. Elijah se dresse devant toi et la chaleur envahit ton corps aussitĂŽt. n'importe qui se serait perdu dans cette contemplation en Ă©tant persuadĂ© d'ĂȘtre face Ă ton meilleur ami mais toi.. toi tu sais. pas uniquement parce que tu connais Elijah, mais parce que le lien qui te lie Ă Anthony est sublime, rare et d'une perfection si absolue qu'il ne peut exister avec personne d'autre. ça n'vibre pas de la mĂȘme maniĂšre, face Ă Elijah. pourquoi ? tu n'en sais rien. le corps est le mĂȘme, les yeux aussi.. mais l'Ăąme diffĂšre. c'est peut-ĂȘtre ce qui le rend, Ă tes yeux, diffĂ©rent d'Anthony. son sourire convainc tes lippes de s'Ă©tirer ahh Keo. laisse moi te regarder, ça fait longtemps. tu vas bien depuis le temps ? tu souris alors qu'il te passe au crible fin. oui, ça fait longtemps. mais Ă la question qu'il te pose, t'as l'coeur qui se serre. tu connais Elijah sans pour autant en ĂȘtre particuliĂšrement proche. proche au point de lui raconter ? tu n'en sais trop rien. tu gardes le silence alors qu'il reprend dĂ©jĂ oui. je passais par lĂ et jâai voulu lui rendre visite. et toi quâest-ce que tu fais lĂ ? tu ravales ta salive. trop de questions auxquelles tu n'veux pas rĂ©pondre. tu retiens mĂȘme ton souffle, juste un peu. t'as l'coeur qui se serre un peu plus. tu baisses les yeux, fuis son regard. tu glisses tes deux mains dans tes pour ĂȘtre parfaitement honnĂȘte avec toi, je venais le voir, moi aussi. enfin, je crois. au fond, c'est ton corps qui a dĂ©cidĂ©, pas ton esprit. t'as laissĂ© tes pieds prendre les commandes, t'as pas donnĂ© d'instructions. et pour ne pas te mentir.. non, ça n'va pas. tu relĂšves tes orbes vers lui, plonges ton regard dans le sien. la ressemblance est saisissante. ça t'fait drĂŽle. on s'est un peu chamaillĂ© avec Anthony ces derniers temps. et c'est un euphĂ©misme. sans parler des mots tenus par Willow et de tes espoirs rĂ©duits Ă nĂ©ant par tout ce qu'il vous arrive en ce moment. Re reflet de l'Ăąme Elijah Jeu 25 FĂ©v - 1706 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]KĂ©o SanrowleyT'as encore en mĂ©moire les mots prononcĂ©s, promesse offerte aux prĂ©mices dâune bataille dont tâas cru ne jamais rĂ©chapper. tu penses parfois encore aux cris, ceux qui tâont accompagnĂ© la douleur, dans les jours et les nuits qui se sont enchaĂźnĂ©s. Mais tu penses surtout aux maux, ceux dâun homme que tâas jamais oubliĂ©. Celle dâun frĂšre dâarmes, dâun gars dont tâas pratiquement tout appris. Alors ca peut paraĂźtre tout bonnement stupide mais tu vois en cette occasion purement hasardeuse, une aubaine pour tenir promesse. une maniĂšre d'honorer ta dette. Parce que plongĂ© dans la vie, naĂŻvement tu n'as pas vu le temps dĂ©filer, celui-lĂ mĂȘme tâayant oubliĂ©. Et aujourd'hui, les annĂ©es se sont rebellĂ©es, ayant fini par te rattraper. et pour ne pas te mentir.. non, ça n'va pas. » Tu te contentes donc dâĂ©couter comme il parle, KĂ©o sans vraiment savoir comment. sans vraiment savoir pourquoi il te livre tout ce qu'il daigne dire. Ah⊠Je vois » gĂȘnĂ© ? Non, tu ne lâes pas pour autant. Du moins tes opales nâen dĂ©mordent pas, toujours Ă la recherche des siennes. -de son regard qui te transperce de toute part. pour ainsi dire, tu ne sais que faire de la situation quâil Ă©nonce, pas encore assez proche dâAnthony pour penser changer quoique ce soit. pas assez proche de KĂ©o pour espĂ©rer comprendre, avoir les mots justes. Mais tu ne peux dĂ©cidĂ©ment pas le laisser en proie Ă ses idĂ©es sombres et tourner les talons. on s'est un peu chamaillĂ© avec Anthony ces derniers temps. » Tu ne rĂ©ponds que dâun simple sourire indolent qui s'invite aux labres, factice ombre amusĂ©e qui flotte sur tes traits alors que les iris glissent vers les cieux qui vous surplombent - L'hĂ©sitation qui pourtant foudroie le cĆur. L'hĂ©sitation qui s'immisce jusqu'Ă tout corrompre, jusqu'Ă tout dĂ©faire de cette grandiose sĂ©rĂ©nitĂ© que tu pensais pouvoir t'approprier de nouveau. Mensonges que tu n'as eu de cesse de te rĂ©pĂ©ter Elijah, dĂ©termination Ă asseoir les craintes pour les battre, les tuer, les laisser s'Ă©tioler â jusqu'Ă cette regrettĂ©e soirĂ©e. Tu essaies Ă taire les voix qui se sont levĂ©es dans ta tĂȘte, tu essaies Ă faire valoir ce silence pour lequel on se mettrait presque Ă prier. Mais tu es fatiguĂ© d'essayer de lutter contre ce que tu ne pourras jamais rĂ©primer â partie de toi que tu devrais embrasser. Cette gentillesse dissimulĂ©e derriĂšre tes airs de grand bonhomme. Ah⊠» que tu souffles Je ne suis pas sĂ»r dâĂȘtre dâune grande aide, ni mĂȘme la bonne personne mais tu veux en parler ? parce que moi je prendrai bien un cafĂ©. » idĂ©e jetĂ©e Ă mĂȘme les airs -pourquoi ? comment ? tu lâignores. tâas simplement suivi ce que ton cĆur tâas dictĂ© de faire pour une fois. Re reflet de l'Ăąme Elijah Jeu 25 FĂ©v - 2315 InvitĂ©âč InvitĂ© âș [ reflet de l'Ăąme ]Elijah Reyesles cicatrices gardent leurs un rappel constant de c'que t'as fait et tout c'que ça implique. de tes mensonges, de tes absences, des non-dits et de cette trahison perfide dont tu es l'unique initiateur. stigmates Ă mĂȘme le myocarde qui parcourent Ă©galement ta chair, ton corps. quand tu te retrouves seul, la nuit, c'est Ă lui que tu penses. Ă vous que tu songes, et Ă tout ce que tu as brisĂ©s, ouais. parfois, tu penses aussi Ă elle et c'est lĂ que ton coeur saigne le plus. deux amours qui se sont un jour conjuguĂ©s pour donner naissance Ă un gamin dont tu t'es senti responsable si longtemps. et puis, t'as compris, trop tard, que tu s'rais jamais l'pĂšre idĂ©al puisque ce dernier existait dĂ©jĂ . quelle blague, ironie du sort. alors scindĂ©, en deux. comme ah⊠je vois, il te rĂ©pond, sans trop savoir quoi faire de plus avec cette information que tu lui donnes. non tu n'vas pas bien, prĂ©tendre le contraire serait lui mentir. si t'es ici ce soir, c'est parce que tu comptais avancer jusqu'Ă ce bĂątiment, frapper Ă sa porte et lui parler. t'excuser, comme t'aurais dĂ» le faire depuis mal qu'on fait tient ses la nuit ça te parcourt et te foudroie. c'est ta faute, tu t'invectives, tu te souviens. si t'avais agi diffĂ©remment, dĂšs le dĂ©but, tu n'en serais peut-ĂȘtre pas lĂ aujourd'hui. en proie Ă tes doutes, tes interrogations. comme terrassĂ© par tes conneries. tu souffres, bien sĂ»r, et lui ? n'importe quoi, Ă chaque fois que t'y penses, tu te dis que t'aurais dĂ» tout avouer ce matin-lĂ .. quand vous parliez d'Europe, t'aurais dĂ» lui parler de Casey. il aurait pu aider Isaac a faire son deuil et t'aurais pu rester proche de lui. tu s'rais peut-ĂȘtre pas tombĂ© amoureux de Willow et peut-ĂȘtre que.. n'importe ah⊠je ne suis pas sĂ»r dâĂȘtre dâune grande aide, ni mĂȘme la bonne personne mais tu veux en parler ? parce que moi je prendrai bien un cafĂ©. il te propose et tu souris, faiblement. Elijah n'est pas Anton', tu le sais, et pourtant, parler Ă son sosie te rĂ©conforterait peut-ĂȘtre. transfert Ă©vident, mais pas nĂ©cessaire. tu hausses les j'veux pas t'emmerder avec tout ça. tu lui rĂ©ponds, doucement. mais j'veux bien partager un cafĂ©. ce jumeau, tu le connais pas beaucoup. t'as pas eu l'occasion de le voir seul, souvent. Anton' t'en a beaucoup parlĂ©.. bien sĂ»r. Ă l'Ă©poque, vous Ă©tiez suffisamment proches pour qu'il se confie. c'est plus l'cas. tu secoues la tĂȘte, remets de l'ordre dans tes esprits et te concentres sur Eli'. je t'invite. tu conclus, comme pour signifier ton accord. Re reflet de l'Ăąme Elijah Jeu 4 Mar - 1504 Contenu sponsorisĂ©âč âș Re reflet de l'Ăąme Elijah Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumCitationde Ăvariste de Parny; Le torrent (1778) Le sourire est le reflet de l'Ăąme. Citation de Pierre Dac; L'os Ă moelle, 13 mai 1938 - 7 juin 1940. Le sourire est la grimace de la jeunesse, et la grimace est le sourire de la vieillesse. Citation de Adolphe d'Houdetot; Dix Ă©pines pour une fleur (1853) Le sourire du malheureux est son cache-misĂšre. Citation de Robert Sabatier; Le livre de Alssane Ndiayeâs Post See other posts by Alssane [ AfricaMilk - 3 ] đ„ Voyage vidĂ©o đïž au SĂ©nĂ©gal dans la rĂ©gion de Richard Toll, oĂč Fatimata nous prĂ©sente son Ă©volution ; dâune production de lait rĂ©servĂ©e Ă sa consommation privĂ©e Ă la vente rĂ©munĂ©ratrice du produit. Un exemple parmi dâautres, pour illustrer les espoirs et ambitions portĂ©s par le projet Africa-Milk coordonnĂ© par le CIRAD. Face Ă une production de lait faible et une collecte du lait difficile, Africa-Milk vise Ă concevoir des innovations techniques et organisationnelles qui permettront đŻ Lâaugmentation et la sĂ©curisation de lâapprovisionnement en lait local par une intensification agroĂ©cologique de la production đŻ LâamĂ©lioration de l'efficience et de l'inclusion de la collecte de lait pour augmenter le revenu des acteurs de la filiĂšre Dans ce cadre, La Laiterie Du Berger promeut un modĂšle de social business pour valoriser le lait des Ă©leveurs sĂ©nĂ©galais, et expĂ©rimente avec Africa-Milk des pratiques agroĂ©cologiques de production de lait pour soutenir une demande de consommation croissante dans le pays, bien trop souvent remportĂ©e par les importations de lait en poudre qui dĂ©veloppent beaucoup moins d'emploi locaux. Africa Milk Afrique lait BassinLaitierDurable Explore topics aNj53.